Nous avons tous un endroit pour parler de ce qu’on fait. Mais pas toujours un lieu pour dire ce qu’on ressent vraiment.
Et pour un leader, un décideur, ce besoin est encore plus crucial.
Derrière le costume du chef d’entreprise, du manager ou du mentor, il y a aussi une personne avec ses doutes, sa fatigue, ses interrogations.
Le masque du leader
Être leader, c’est souvent enfiler un costume : celui qui rassure, guide et prend les bonnes décisions.
Mais derrière ce rôle, il y a des moments où tu te sens épuisé.e, perdu.e, où tu te demandes : “Je n’en peux plus… Je doute… Je sais plus où je vais.”
Et pourtant, peu d’endroits permettent de déposer ce fardeau. Même ton entourage proche peut interpréter tes mots à travers son propre prisme.
Pourquoi se confier à un coach ?
Un coach, lui, accueille tes doutes sans jugement et sans a priori.
Il te permet de :
La vulnérabilité : une force paradoxale
Reconnaître sa vulnérabilité n’est pas une faiblesse. C’est une force qui ouvre à plus de clarté, d’authenticité et de lucidité.
Oser se révéler à un espace neutre, c’est commencer à se libérer de la pression invisible de devoir tout gérer seul.e.
Oser dire tout ce que tu ressens à un coach, c’est offrir à ton esprit un espace sécurisé pour respirer.
C’est là que la transformation commence : doucement, en profondeur, et sans tout bousculer.
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Marre du "Mode Warrior" ?
Les 3 leçons d'une ex-performeuse pour un leadership authentique:
Vous êtes ce leader qui gère tout, le manager qui encaisse tous les chocs, l'entrepreneur qui ne s'arrête jamais ? Vous excellez... mais à quel prix ? De l'extérieur, vous êtes la force tranquille. De l'intérieur, vous êtes épuisé.
C'est exactement la réalité qu'a vécue Isabelle LeRoy. Ancienne performeuse dans le monde de l'entreprise, elle connaît parfaitement la pression du chiffre et la culture du "toujours plus". Elle a passé des années en "mode warrior". Aujourd'hui coach, elle utilise son parcours pour guider les professionnels vers un leadership à la fois puissant et humain.
Voici les trois grandes leçons qu'elle a tirées pour briser la carapace de la sur-performance.
1. Le coût caché de l'excellence : Quand la force est une faiblesse
Le "Mode Warrior" est simple : il exige le perfectionnisme et le déni de toute fragilité. Pour Isabelle, cela s'est traduit par une quête obsessionnelle d'être "la première" (07:52), une capacité à se couper de ses émotions pour "gérer" les problèmes (08:18).
Le problème, c'est que cette excellence a un coût. Ce mode de fonctionnement, souvent valorisé par les entreprises, mène inévitablement à l'épuisement, au manque de discernement et, paradoxalement, à une rupture d'authenticité. Vous devenez un robot performant, mais vous perdez la capacité à être un leader inspirant et empathique. Vous vous épuisez pour un rôle, pas pour vous-même.
2. Le vrai acte de leadership : Passer de "faire" à "être"
À l'aube de ses 40 ans, face à des épreuves personnelles majeures (deuil, séparation), Isabelle a atteint le point de non-retour. Elle a pris la décision la plus radicale de sa carrière : "être la même personne partout" (10:30).
C'est là le véritable acte de leadership : accepter de ne pas aller bien, d'être vulnérable, et d'aligner son être profond avec sa posture professionnelle. Pour Isabelle, cela a impliqué de se former (art-thérapie, psychologie) et de s'engager dans une profonde connaissance de soi.
Leçon à retenir : Un leadership durable ne repose pas sur la force brute (le "faire"), mais sur l'authenticité (l'"être"). C'est en déposant sa carapace que l'on retrouve la clarté nécessaire pour prendre les bonnes décisions et inspirer la confiance de ses équipes.
3. L'écoute confidente : L'outil indispensable du leader moderne
Suite à ses années de transformation, Isabelle a fondé son approche sur l'accueil inconditionnel de l'humain. Elle se définit comme une "coach confidente" (30:23). Pourquoi cette notion est-elle essentielle pour les professionnels ?
Le leader est souvent seul au sommet, incapable de partager ses doutes et ses peurs sans craindre d'être jugé ou de perdre sa crédibilité. L'espace de coaching devient un lieu où vous pouvez déposer votre fardeau et retrouver l'essentiel (23:03) :
Être vu et entendu sans jugement (34:36)
Retrouver le sens au-delà des objectifs chiffrés (28:30)
Transformer la douleur en une mission de contribution (29:21)
Pour un manager, comprendre cette dynamique de l'accueil et de l'authenticité est la clé pour gérer l'humain et non plus seulement les chiffres. C'est la voie vers un leadership qui n'épuise plus, mais qui nourrit.
🔥 Votre "Mode Warrior" vous coûte-t-il trop cher ?
Pour écouter l'histoire complète d'Isabelle et vous inspirer de sa résilience pour votre propre leadership, regardez son entretien.
Et si on inversait la perspective ?
On parle souvent de l’équilibre vie pro / vie perso.
Mais rarement de l’impact de la vie personnelle sur la vie professionnelle.
Pourtant, dans mes accompagnements comme dans ma propre histoire, c’est souvent le vécu intime, les blessures non exprimées, les émotions tues qui influencent le plus nos comportements au travail.
💔 Mon histoire : quand tout commence à l’intérieur
Il y a eu un moment charnière dans ma vie : la perte soudaine de mon père.
Ce drame, je l’ai enfoui.
J’ai continué à travailler, à performer, à “tenir”.
J’ai repris le travail quatre jours après ses funérailles.
Sur le papier, tout allait bien.
Mais à l’intérieur, je m’étais coupée de mes émotions, de mon corps, de moi-même.
Pendant des années, j’ai cru que me jeter à corps perdu dans le travail allait me sauver.
En réalité, je fuyais ma douleur. Et cette fuite m’a menée droit vers la maladie, puis vers une profonde perte de sens.
⚙️ Quand la vie perso s’invite au bureau
On dit souvent : “Laisse tes problèmes personnels à la porte du travail.”
Mais c’est faux.
Nos émotions, nos non-dits, nos blessures s’invitent toujours avec nous : dans une réunion, dans un échange client, dans notre niveau d’énergie.
Et quand la cocotte-minute explose, les conséquences se voient partout : baisse de performance, perte de sens, conflits, fatigue, voire maladie.
🧩 Le tournant : oser regarder à l’intérieur
Le vrai changement a commencé le jour où j’ai accepté de regarder mon histoire en face.
L’art-thérapie a été ma porte d’entrée.
Huit ans après le drame, un tableau m’a révélé ce que je n’avais jamais exprimé : ma colère, ma tristesse, ma culpabilité.
J’ai enfin pleuré. J’ai enfin libéré ce que je retenais depuis si longtemps.
Et c’est là que j’ai compris :
➡️ on ne peut pas séparer la personne du professionnel.
Nos émotions non exprimées finissent toujours par s’imprimer quelque part : dans le corps, dans nos relations, dans notre travail.
🌟 Aujourd’hui : transformer l’expérience en accompagnement
Aujourd’hui, j’accompagne les personnes et les entreprises à reconnecter ces deux mondes.
Dans mes programmes, notamment Reset et Révèle-toi, j’aide à :
Je crois profondément que le bien-être personnel nourrit la performance durable.
Et qu’en osant être pleinement soi, on devient plus juste, plus inspirant, plus aligné, dans toutes les sphères de sa vie.
Prendre soin de soi, c’est aussi prendre soin de son travail
Nous ne sommes pas deux personnes : une pour le travail, une pour la maison.
Nous sommes un seul être, avec une seule énergie.
Et cette énergie, elle circule ou elle se bloque selon la place qu’on s’accorde.
👉 Prendre soin de sa vie personnelle, c’est investir dans sa vie professionnelle.
C’est ça, l’équilibre. Pas une séparation, mais une alliance.
Il est 22 heures, tu as éteint l'ordinateur il y a une heure, mais ta tête continue de tourner. Le chiffre du mois, ce client un peu trop exigeant, le coup de fil que tu as eu avec ton manager, et en plus, il faut penser au foot des enfants demain. Tu te dis que c'est le prix à payer pour réussir, que c'est "normal" de se sentir vidé.e. Et si ta fatigue était en fait un message plus profond ?
Et si ce mal de dos récurrent, cette boule au ventre avant une réunion, ou la peur de ne pas être à la hauteur, n'étaient pas des signes de faiblesse, mais des informations cruciales que ton corps t'envoie ?
Le mythe du "c'est normal"
On nous a appris à travailler dur. On nous a dit que l'épuisement, c'est juste parce qu'on a trop travaillé. C'est le caillou dans la chaussure que l'on traîne sans rien dire. On sépare le pro et le perso. Sauf que ce n'est pas la réalité. Une dispute avec ton conjoint, un enfant malade, une relation tendue au travail… Tout cela impacte ton énergie, ta clarté et ta capacité à prendre des décisions.
Ton corps, tes émotions, tes croyances... tout est lié. Un stress financier peut se manifester par une douleur au cou. Un manque de reconnaissance par un manque d'envie. Ce sont ces "systèmes internes" qui, quand ils sont désalignés, créent ce que tu appelles de la "fatigue". Tu ne peux pas te contenter de faire plus de sport pour résoudre une peur qui te ronge de l'intérieur.
La méthode : déposer le sac à dos
Mon travail, c'est de t'offrir un espace où tu peux enfin déposer ce sac à dos, sans jugement.
Nous n'allons pas chercher à "réparer" ce que tu penses être cassé. On va simplement prendre le temps de se reconnecter à ce qui est vraiment en toi.
Étape 1 : Le débrief.
Nous n'allons pas parlé de chiffres, mais des vrais problèmes. Le client qui te stresse, le manque d'envie le matin, la relation avec ton associé. On lâche la pression ensemble, en se reconnectant au corps, au souffle, en s'autorisant à ressentir.
Étape 2 : L'écoute du signal.
Nous allons chercher à comprendre ce que ton corps te dit. Ce pincement dans l'estomac, ce mal de tête. Ce ne sont pas des ennemis, ce sont des données. Des signaux qui indiquent qu'une émotion, une croyance, un événement, t'impacte.
Étape 3 : La reconstruction.
Une fois que tu auras identifié ce qui se passe sous la surface, tu pourras reprendre le contrôle. Les émotions ne seront plus un frein, mais un guide. On peut alors agir, transformer, et retrouver une énergie qui ne sera pas juste un coup de boost, mais une force durable.
La fatigue n'est pas un badge d'honneur. C'est un signal qu'un de tes systèmes est dérégulé, désaligné.
Le courage, ce n'est pas de faire semblant d'être fort quand tout s'écroule. C'est de s'autoriser à écouter ce qui ne va pas, pour y faire face et retrouver le contrôle de sa vie, dans sa globalité. Pour la première fois peut-être, tu ne seras pas seul face à tes défis.
Nous vivons tous avec cette petite voix intérieure. Parfois, elle nous pousse à avancer, à créer, à oser. D’autres fois, elle devient ce hamster dans sa roue : elle tourne, elle tourne, et nous enferme dans des scénarios qui nous épuisent. Alors, le mental et nos pensées sont-ils des alliés précieux ou des ennemis insidieux ?
Quand les pensées prennent toute la place
Qui n’a jamais connu ces nuits blanches où une idée en appelle une autre ? Une inquiétude surgit, et voilà qu’elle se transforme en mille suppositions. À ce moment-là, nos pensées semblent plus réelles qu’un objet tangible posé sur la table de chevet. Le mental fabrique alors des histoires qui prennent le pas sur la réalité.
Le problème n’est pas le mental… mais l’identification à celui-ci.
Comme le rappelle Eckhart Tolle dans Le Pouvoir du moment présent, le mental n’est pas l’ennemi. Il devient toxique seulement lorsque nous croyons que nous sommes nos pensées. Steven Pressfield, dans "La Guerre de l’art", appelle cette voix intérieure « la résistance » : celle qui sabote, doute, procrastine et freine nos élans créatifs.
Les croyances limitantes : héritage invisible
Derrière cette voix se cachent souvent des phrases entendues dans l’enfance : « tu ne fais jamais assez bien », « tu n’y arriveras pas ». Elles se transforment en vérités intérieures, répétées encore et encore, jusqu’à nous faire oublier qu’elles ne sont qu’un écho du passé. Bonne nouvelle : la prise de conscience permet déjà de s’en libérer.
Quand le mental devient tyran
Un mental non apprivoisé engendre fatigue, confusion, journées lourdes, relations tendues. Au lieu d’avancer, nous piétinons, prisonniers d’un flot de 60 000 à 80 000 pensées par jour, dont la majorité n’est qu’un bruit de fond inutile.
Comment transformer le mental en allié ?
La clé n’est pas de « faire taire » ses pensées, mais de changer la relation qu’on entretient avec elles. Quelques pratiques simples permettent de remettre le mental à sa juste place :
Observer ses pensées comme des nuages qui passent, sans s’y identifier.
Écrire pour libérer le trop-plein.
Respirer consciemment pour revenir au corps.
Marcher dans la nature pour apaiser le flux mental.
Donner un nom à sa petite voix critique, et la remettre gentiment à sa place.
Reprendre le volant
Nos pensées ne sont pas faites pour nous tyranniser, mais pour nous guider. En les observant avec clarté, en les orientant avec discernement, nous reprenons le volant de notre vie. Le mental redevient alors ce qu’il devrait toujours être : un outil puissant au service de notre cœur, de nos décisions et de nos actions.
👉 Et vous, comment dialoguez-vous avec votre mental ? Est-il aujourd’hui votre allié ou votre ennemi ?
La fatigue et le stress font désormais partie du quotidien de nombreuses personnes. Entre surcharge mentale, sollicitations incessantes et vie hyperconnectée, il devient difficile de trouver un véritable équilibre. Pourtant, ce n’est pas tant la quantité de travail qui épuise, mais la façon dont nous gérons — ou plutôt subissons — notre énergie.
Et si la clé résidait dans une approche différente : renverser la pyramide de l’énergie ?
Comprendre la vraie source de la fatigue
Contrairement aux idées reçues, la fatigue n’est pas seulement physique. Elle est souvent la conséquence d’un déséquilibre systémique : nos émotions non traversées, nos pensées qui tournent en boucle, et une énergie qui s’épuise faute de régulation.
Résultat : tensions corporelles, irritabilité, brouillard mental, ruminations, difficulté à avancer… C’est un cercle vicieux qui vide notre réservoir intérieur.
L’énergie, notre carburant personnel
Imaginez votre énergie comme le carburant d’une voiture. Chacun a un moteur différent et une façon de conduire particulière. Si vous roulez en permanence en mode sportif — accélérations brusques, freinages répétés — votre réservoir se vide à toute vitesse.
Ainsi, ce n’est pas forcément le volume de travail qui fatigue, mais plutôt une mauvaise gestion de l’énergie : surcharge d’un système, blocage d’un autre, et tout l’équilibre se dérègle.
Renverser la pyramide : mettre l’énergie en premier
Plutôt que de subir les journées, l’idée est de piloter sa journée selon son énergie.
Comment ?
Découper ses tâches par niveau d’énergie : une réunion importante n’a pas le même coût énergétique qu’une réponse à un mail.
Structurer sa journée en tranches : réserver le matin aux activités exigeantes, prévoir l’après-midi pour des tâches plus légères, inclure des pauses régénératrices.
Prévoir à l’avance les sollicitations : au lieu d’interrompre votre travail pour préparer un dossier ou répondre à une demande, l’inscrire dans votre agenda à un moment adapté.
Cette écoconduite énergétique permet de conserver clarté, efficacité et sérénité.
Vers un cercle vertueux d’équilibre
En apprenant à mieux se connaître, ses rythmes, ses besoins de repos, ses pics de concentration, chacun peut réguler son énergie au quotidien. Les bénéfices sont rapides :
sommeil plus réparateur,
meilleure digestion et alimentation plus équilibrée,
sensation de vitalité accrue,
baisse du stress et des tensions.
On passe ainsi d’un cercle vicieux (fatigue → stress → épuisement) à un cercle vertueux où l’énergie se régénère naturellement.
Lors de mes accompagnements et échanges avec des cadres, managers et artisans, une question revient souvent : « Qu’est-ce qui, dans votre quotidien, vous pèse le plus sans que vous osiez forcément le dire ? »
Les réponses sont révélatrices : une injonction invisible à tenir, performer, donner toujours plus. On aime son métier, c’est une fierté, un moteur… mais à force de s’investir à 200 %, on finit par s’oublier.
Depuis des décennies, notre société place le travail au centre de nos vies : produire, cocher des cases, atteindre des objectifs, valider des indicateurs. Même dans les métiers de service – artisanat, commerce, enseignement, santé – la demande est toujours plus forte, avec moins de moyens.
Quand le corps dit stop
Cette course incessante finit par peser : fatigue chronique, stress, douleurs diffuses, perte de sens. Même les pauses doivent être “utiles” : un congé productif, une méditation pour mieux gérer ses émotions… mais rarement pour simplement être.
À force de repousser l’écoute de soi, le corps finit par craquer. Derrière les sourires, il y a épuisement, peur de l’effondrement, questionnement sur le sens : “À quoi bon tout ça ?”
Quand l’utilité disparaît, l’identité vacille. On devient un numéro, un chiffre, un rouage. Comme le dit Bigflo & Oli :
"Je suis qu'un vote, une statistique, un chiffre, un point de plus dans la foule."
Les frustrations qui minent le quotidien
Ce qui use le plus, ce ne sont pas les tâches difficiles, mais celles qui n’ont pas de sens : administratif à rallonge, reportings inutiles, process étouffants.
Trois besoins essentiels se dégagent :
Ces besoins ne sont pas des caprices : ils sont au cœur de notre équilibre et de notre engagement.
Derrière le stress, se cachent des peurs profondes :
Ces peurs peuvent paralyser, mais elles révèlent un besoin universel : exister pleinement, être légitime, être reconnu.
Retrouver souffle, sens et lien
La vraie question n’est pas seulement comment tenir, mais comment retrouver du souffle, du sens et de la relation avec soi et les autres.
Pour contrer le stress et l’épuisement :
Se connaître profondément : explorer ses valeurs, son histoire, ses peurs.
S’aimer dans toutes ses facettes : créer une sécurité intérieure qui ne dépend pas uniquement des résultats.
Redonner du sens à l’action : se recentrer sur ce qui compte vraiment, humainement et professionnellement.
Comme me l’a confié une personne que j’ai accompagnée : « J’ai 55 ans, mais si je perds mon travail, je sais que je vais retrouver quelque chose. Ce qui compte, c’est que moi, j’aille bien. »
Derrière les masques de performance, de chiffres et d’objectifs, ce qui se joue est profondément humain. Les entrepreneurs, managers ou artisans ne cherchent pas seulement à réussir : ils veulent être alignés, utiles, inspirants, libres et authentiques.
Retrouver du souffle, c’est retrouver sa vitalité, sa clarté et son élan, et surtout le sens de ce que l’on fait chaque jour.